| | INFOS PRESSE AUTOMNE 07. | |
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BENGI* Admin
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| Sujet: Re: INFOS PRESSE AUTOMNE 07. Mer 2 Jan 2008 - 20:48 | |
| LA GRANDE ACTU DU PETIT ECRAN DEC 07.Impossible de le manquer : Poelvoorde est partout en ce moment. Au cinéma, avec deux films : Les Deux Mondes de Daniel Cohen et Cowboy de Benoît Mariage.
Dans les médias, aussi, Benoît Poelvoorde se confie, en long et en large… Il parle de tout, parfois de rien, de sa vie intime, dans les journaux, dans les radios et aussi à la télé…
Ce mercredi 5/12 par exemple, dans L’Envers de l’Ecran, sur La Deux.
Finalement, on l’entend peu sur le cinéma, sur sa carrière, sur les films qu’il a tourné. Philippe Reynaert s’y met, après Mireille Dumas (Vie privée Vie publique, sur France 3, ce lundi 3/12) et Olivier Monssens (Al Dente, sur Be TV le 1/12) .
Le monsieur cinéma de la RTBF, l’homme aux lunettes blanches, reçoit enfin la superstar belge dans son émission L’Envers de l’écran. Et pour une fois, l’ami Ben joue le jeu, il ne se cache pas derrière le masque de l’amuseur. Avec le réalisateur Benoît Mariage, ils discutent à 3 du film Cowboy, qui sort ce mercredi 5/12. Ils revoient aussi des scènes des précédents films de l’acteur, et Benoît se retrouve parfois avec les larmes aux yeux… On verra aussi en exclusivité les toutes premières images du nouveau film de Bouli Lanners, Eldorardo, encore en tournage.
La Deux propose ce mercredi toute une soirée spéciale Poelvoorde, en programmant, après cette émission réussie, un de ses meilleurs films, les Portes de la Gloire ainsi qu’un documentaire sur Michel Strée, le personnage dont s’inspire le film Cowboy, responsable d’une prise d’otage pour attirer l’attention des autorités. Un documentaire réalisé par Benoît Mariage.
Extrait de Telerama.fr, 5.12.2007
Poelvoorde, partout et nulle part ?
Il est partout, sur les affiches du métro, à la télé, dans les magazines. Et partout il raconte son surmenage, son besoin de souffler. Même déprimé, Poelvoorde reste un « client » idéal. Ce clown sincère a quelque chose d’une autre époque, une folie exubérante dénuée de tout cynisme. Las, au cinéma, il est plus souvent convoqué en guest-star qu’en interprète. A part Anne Fontaine, qui avait réussi à le brider dans Entre ses mains, personne n’avait vraiment profité de son large éventail de jeu. A sa manière de défendre vaillamment Cowboy comme s’il l’avait lui-même réalisé, on devine bien que le hiatus lui pesait ◆ J.M. | |
| | | BENGI* Admin
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| Sujet: Re: INFOS PRESSE AUTOMNE 07. Mer 2 Jan 2008 - 21:03 | |
| LES 4 TEMPS FORTS DE LA FIN D’ANNÉE SUR RTL L’Album RTL de l’Année Couronné Album RTL de l’Année 2007, Yannick Noah est l’invité d’une émission exceptionnelle le mardi 25 décembre de 18h30 à 21h au cours de laquelle il se verra remettre son trophée. La remise du prix sera suivie de la diffusion du concert mémorable que Yannick Noah avait offert aux auditeurs de RTL le 22 octobre dernier.
Les rétrospectives de l’information et des sports RTL revient, en cette fin d’année, sur les grands événements qui ont jalonné les 12 derniers mois dans tous les domaines de l’information et du sport. Rendez vous avec Daniel Ferrin les 24, 26, 27 et 28 décembre de 19h15 à 20h pour une « rétro de l’info » originale en 4 volets : « les quatre saisons de l'info », et avec Ludovic Vandekerckhove le dimanche 23 décembre 18h15 pour une« rétro sport » complète.
« Ils ont marqué 2007 – Ils vont marquer 2008 » La semaine du 24 Décembre, à 7h25, RTL revient sur les grandes figures de cette année écoulée. « Ils ont marqué 2007 », ce sont 5 personnalités incontournables de l’année mises à l’honneur : Nicolas Hulot, Michel Polnareff, Sébastien Chabal, Cécilia Sarkozy, et … l'usager des transports. La semaine du 31 décembre, à 7h25, RTL propose de faire découvrir les futures têtes d’affiches de l’année 2008. « Ils vont marquer 2008 » : Xavier Bertrand,
Benoit Poelvoorde, Hillary Clinton, Karim Benzema, Lorenzo Betancourt. | |
| | | BENGI* Admin
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| Sujet: Re: INFOS PRESSE AUTOMNE 07. Jeu 3 Jan 2008 - 13:44 | |
| Je pense que cette info intéressera Guy (magazine Brazil n° 2) Cinéma et jeu vidéo : même combat ?!
Par : Mathieu Chartier
19 Décembre 2007 - C'est en feuilletant le n°2 de BRAZIL (une nouvelle revue traitant de cinéma proposant une ligne éditoriale très intéressante et sans concessions) que nous sommes tombés sur une intéressante interview de l'acteur belge Benoît Poelvoorde - un zeste névrosé, énormément disjoncté - dans laquelle il aborde la "virtualité" de l'industrie du cinéma et traite sans tabou des problèmes actuels de l'industrie française du film. Ainsi, quand Christophe Goffette (rédacteur en chef du mag') l'interroge sur les motivations actuelles de la création cinématographique française ("J'ai de plus en plus l'impression que les films sont montés sur la viabilité commerciale d'un acteur, au détriment des films en question"), Benoît Poelvoorde acquiesce : "Je suis tout à fait d'accord. Et comme à chaque fois qu'il y a problème, il faut remonter à la source. Le problème, c'est que ce sont les télévisions qui financent le cinéma. Et la télévision, il faut la flatter, alors les scénaristes ont vite compris qu'il fallait maintenant écrire des histoires qui flattaient les producteurs de télévision. Et pour ce faire, il faut des histoires simples, bourrées de stéréotypes dramatiques pour ces décideurs. A partir de là, si le projet est viable selon leurs critères, il est mis en attente d'un casting 'bankable'. Pour moi, les scénaristes sont donc aussi et surtout responsables de la situation. Les producteurs aussi bien sûr, car ils n'ont plus de conviction. [...] Aujourd'hui, tout le monde choisit la facilité, la redite, le confort. Et la solution de facilité par excellence, c'est juste de trouver un acteur 'bankable', parce qu'à ce moment là, le mec de la télé crache son pognon".
Benoît Poelvoorde, acteur déjanté au regard critique sur son industrie...
Si nous avons choisi cette citation, c'est qu'elle reflète merveilleusement bien une situation dans laquelle l'industrie du cinéma ne prend plus de risques. Situation que le jeu vidéo connaît de plus en plus. N'a-t-on pas annoncé depuis le début de semaine un spin-off de l'univers de Command & Conquer, un nouvel épisode de Tomb Raider ou encore un nouveau jeu estampillé Dragon Ball Z ? Des licences que les joueurs connaissent par coeur, et qui reviennent inlassablement sur le devant de la scène vidéoludique car se lancer dans ce genre de projets est "moins risqué" pour les éditeurs de ces jeux. Si la sécurité repose sur l'acteur en matière de cinéma, la notion s'applique à la franchise en matière de jeu vidéo. Se pose alors une question simple : l'industrie de l'Entertainment, dont le coeur de métier est de vendre du rève, de surprendre son consommateur, n'est-elle pas en train de troquer sa créativité contre un peu de profit ? Si, certainement. Cela ne date certes pas d'hier, mais avec la manne financière que représentent désormais ces industries (et le jeu vidéo en première ligne), la tendance ne risque visiblement pas de s'inverser. Alors Benoît Poelvoorde cherche à trouver les coupables, ou tout du moins, les responsables.
Forcément, dans le cas du jeu vidéo, les éditeurs sont pour beaucoup dans le marketing de licences devenues aujourd'hui immanquables, mais aussi les plus "bankable". Mais comme l'explique Benoît Poelvoorde, les studios de création ne sont-ils pas aussi responsables de la situation ? Difficile pourtant de leur jeter la pierre, car financièrement, accepter les jeux "de commande" est une aubaine - voire une nécessité - pour eux. Un peu d'espoir ? Le marché lui même, que l'on parle de cinéma ou de jeu vidéo, pourrait être à l'origine d'un retour de créativité. Il n'y a qu'à voir la réussite commerciale - nourrie par le succès critique - des nouvelles licences qui, malgré tout, ont profité de l'arrivée des machines de nouvelle génération pour s'imposer. Evidemment, il y a de fortes chances que l'on resserve aux joueurs du BioShock, du Assassin's Creed ou du Mass Effect dans les mois à venir. C'est même déjà prévu où quasi acquis pour ces licences. Mais le renouvellement et la créativité ne semblent pas encore totalement perdus de vue. Encourageant non, monsieur Poelvoorde ? source: http://www.gamepro.fr/actualites/26081/cinema-jeu-video-meme-combat/ | |
| | | BENGI* Admin
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| Sujet: Re: INFOS PRESSE AUTOMNE 07. Jeu 3 Jan 2008 - 22:10 | |
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| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: INFOS PRESSE AUTOMNE 07. Ven 4 Jan 2008 - 0:16 | |
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| | | so WEBMASTER
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| | | | BENGI* Admin
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| | | | BENGI* Admin
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| Sujet: Re: INFOS PRESSE AUTOMNE 07. Mer 30 Jan 2008 - 23:32 | |
| PURE PEOPLE * http://www.purepeople.com/1282-Benoit-Poelvoorde-comme-un-funambule-au-dessus-de-l-abime.html Lorsque Benoit Poelvoorde évoque sa fragilité psychologique sur le plateau de Marc-Olivier Fogiel, début novembre, lorsqu'on l'entend tenter d'expliquer son mal-être, la gorge nouée, hésitant, il apparaît que Benoît Poelvoorde-l'amuseur-public, le comique bankable du septième art francophone, est - comme des millions de Français - atteint de dépression. Il exprime un profond sentiment de solitude et la sensation de ne pas être à sa place. Surprenant de la part d'une grande gueule à la répartie cinglante, apparemment à l'aise dans toutes les situations. Mais les apparences sont trompeuses ; et c'est là le drame de la vie de Poelvoorde. Lorsque l'humoriste belge est propulsé dans le grand bain du show-business, il découvre un monde qui, tout d'abord, le fascine. Il est un enfant, le cinéma son terrain de jeu. L'argent, les filles, la fête, il dévore la vie. Le succès est là, les tournages s'enchaînent. Il voyage beaucoup, trop peut-être... Son métier l'éloigne - physiquement et humainement - de sa vie passée. Les mirages s'évanouissent, les masques tombent et la grande famille du cinéma se révèle décevante. Les rapports superficiels et impersonnels « du milieu » commencent à peser sur son moral. Le malaise s'installe, la fête, encore et toujours, s'impose comme seule échappatoire. Les retours à la réalité sont chaque fois plus difficiles. Le mal le submerge pendant le tournage d'« Astérix aux jeux Olympiques ». Malgré les centaines de comédiens et de techniciens qui l'entourent, Benoît Poelvoorde se sent seul, au bord de l'abîme. Une fois de plus. Une fois de trop. La machine est trop grosse, la dimension humaine en est exclue. La sensation de n'être alors qu'un numéro l'anéantit. Il reste cinq mois en Espagne, loin de tout, loin de tous. Rémy Belvaux, l'ami qui lui avait mis le pied à l'étrier - mais avec qui il était en froid depuis quelques années - vient à décéder. Benoît Poelvoorde sombre. Passer à côté de l'essentiel lui est devenu insupportable. Tout lui semble vain. A l'instar du nouveau film de Yann Moix (producteur de Podium), Cinéman, dont il devait être la vedette. C'est l'histoire d'un homme obsédé par le cinéma, qui décide de réaliser ses films en famille, sans tenir compte des impératifs commerciaux imposés par les boîtes de production. Le rôle est en phase avec l'état d'esprit de Poelvoorde. Trop. Le script égrène ce qu'il dénonce, ce qui lui donne aujourd'hui la nausée. Benoît Poelvoorde préfère quitter le tournage. Il revient aujourd'hui avec deux films, Les Deux Mondes et Cow Boy (en salle le 5 décembre), dont il est censé assurer la promo. Il se prête au jeu, encore une fois. Mais chacun aura compris que c'est au-dessus de ses forces.
Lorsque Benoit Poelvoorde évoque sa fragilité psychologique sur le plateau de Marc-Olivier Fogiel, début novembre, lorsqu'on l'entend tenter d'expliquer son mal-être, la gorge nouée, hésitant, il apparaît que Benoît Poelvoorde-l'amuseur-public, le comique bankable du septième art francophone, est - comme des millions de Français - atteint de dépression. Il exprime un profond sentiment de solitude et la sensation de ne pas être à sa place. Surprenant de la part d'une grande gueule à la répartie cinglante, apparemment à l'aise dans toutes les situations. Mais les apparences sont trompeuses ; et c'est là le drame de la vie de Poelvoorde. Lorsque l'humoriste belge est propulsé dans le grand bain du show-business, il découvre un monde qui, tout d'abord, le fascine. Il est un enfant, le cinéma son terrain de jeu. L'argent, les filles, la fête, il dévore la vie. Le succès est là, les tournages s'enchaînent. Il voyage beaucoup, trop peut-être... Son métier l'éloigne - physiquement et humainement - de sa vie passée. Les mirages s'évanouissent, les masques tombent et la grande famille du cinéma se révèle décevante. Les rapports superficiels et impersonnels « du milieu » commencent à peser sur son moral. Le malaise s'installe, la fête, encore et toujours, s'impose comme seule échappatoire. Les retours à la réalité sont chaque fois plus difficiles. Le mal le submerge pendant le tournage d'« Astérix aux jeux Olympiques ». Malgré les centaines de comédiens et de techniciens qui l'entourent, Benoît Poelvoorde se sent seul, au bord de l'abîme. Une fois de plus. Une fois de trop. La machine est trop grosse, la dimension humaine en est exclue. La sensation de n'être alors qu'un numéro l'anéantit. Il reste cinq mois en Espagne, loin de tout, loin de tous. Rémy Belvaux, l'ami qui lui avait mis le pied à l'étrier - mais avec qui il était en froid depuis quelques années - vient à décéder. Benoît Poelvoorde sombre. Passer à côté de l'essentiel lui est devenu insupportable. Tout lui semble vain. A l'instar du nouveau film de Yann Moix (producteur de Podium), Cinéman, dont il devait être la vedette. C'est l'histoire d'un homme obsédé par le cinéma, qui décide de réaliser ses films en famille, sans tenir compte des impératifs commerciaux imposés par les boîtes de production. Le rôle est en phase avec l'état d'esprit de Poelvoorde. Trop. Le script égrène ce qu'il dénonce, ce qui lui donne aujourd'hui la nausée. Benoît Poelvoorde préfère quitter le tournage. Il revient aujourd'hui avec deux films, Les Deux Mondes et Cow Boy (en salle le 5 décembre), dont il est censé assurer la promo. Il se prête au jeu, encore une fois. Mais chacun aura compris que c'est au-dessus de ses forces.
Lorsque Benoit Poelvoorde évoque sa fragilité psychologique sur le plateau de Marc-Olivier Fogiel, début novembre, lorsqu'on l'entend tenter d'expliquer son mal-être, la gorge nouée, hésitant, il apparaît que Benoît Poelvoorde-l'amuseur-public, le comique bankable du septième art francophone, est - comme des millions de Français - atteint de dépression. Il exprime un profond sentiment de solitude et la sensation de ne pas être à sa place. Surprenant de la part d'une grande gueule à la répartie cinglante, apparemment à l'aise dans toutes les situations. Mais les apparences sont trompeuses ; et c'est là le drame de la vie de Poelvoorde. Lorsque l'humoriste belge est propulsé dans le grand bain du show-business, il découvre un monde qui, tout d'abord, le fascine. Il est un enfant, le cinéma son terrain de jeu. L'argent, les filles, la fête, il dévore la vie. Le succès est là, les tournages s'enchaînent. Il voyage beaucoup, trop peut-être... Son métier l'éloigne - physiquement et humainement - de sa vie passée. Les mirages s'évanouissent, les masques tombent et la grande famille du cinéma se révèle décevante. Les rapports superficiels et impersonnels « du milieu » commencent à peser sur son moral. Le malaise s'installe, la fête, encore et toujours, s'impose comme seule échappatoire. Les retours à la réalité sont chaque fois plus difficiles. Le mal le submerge pendant le tournage d'« Astérix aux jeux Olympiques ». Malgré les centaines de comédiens et de techniciens qui l'entourent, Benoît Poelvoorde se sent seul, au bord de l'abîme. Une fois de plus. Une fois de trop. La machine est trop grosse, la dimension humaine en est exclue. La sensation de n'être alors qu'un numéro l'anéantit. Il reste cinq mois en Espagne, loin de tout, loin de tous. Rémy Belvaux, l'ami qui lui avait mis le pied à l'étrier - mais avec qui il était en froid depuis quelques années - vient à décéder. Benoît Poelvoorde sombre. Passer à côté de l'essentiel lui est devenu insupportable. Tout lui semble vain. A l'instar du nouveau film de Yann Moix (producteur de Podium), Cinéman, dont il devait être la vedette. C'est l'histoire d'un homme obsédé par le cinéma, qui décide de réaliser ses films en famille, sans tenir compte des impératifs commerciaux imposés par les boîtes de production. Le rôle est en phase avec l'état d'esprit de Poelvoorde. Trop. Le script égrène ce qu'il dénonce, ce qui lui donne aujourd'hui la nausée. Benoît Poelvoorde préfère quitter le tournage. Il revient aujourd'hui avec deux films, Les Deux Mondes et Cow Boy (en salle le 5 décembre), dont il est censé assurer la promo. Il se prête au jeu, encore une fois. Mais chacun aura compris que c'est au-dessus de ses forces. | |
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