| | RIEN A DECLARER | |
| | Auteur | Message |
---|
BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: RIEN A DECLARER Lun 18 Jan 2010 - 15:01 | |
|
Dernière édition par BENGI* le Jeu 21 Oct 2010 - 1:53, édité 5 fois | |
| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER Mar 19 Jan 2010 - 0:23 | |
| A Macquenoise, chez Dany BoonLa production avait effectué plusieurs repérages en région Nord-Pas-de-Calais et en Picardie pour dénicher ce qui doit être le décor naturel principal du film, à savoir « un poste-frontière franco-belge des années 90 ». Elle a trouvé. Le choix de Dany Boon s’est finalement porté sur la petite ville belge de Macquenoise, à deux pas de la frontière française, d’autres prises de vue devant être réalisées à Chimay
et à >>
Dans Rien à déclarer, Dany Boon et Benoît Poelvoorde camperont les personnages principaux, des douaniers devant faire équipe au sein d’une brigade mixte de douaniers mixte franco-belge, avec en toile de fond l’ouverture des frontières de l’Union européenne. Kad Merad et François Damiens seront de la partie.Macquenoise est un village de la commune de Momignies, dans le Hainaut. Son nom wallon, Maq’nwêse, signifie Marché sur l’Oise. C’est un lieu très connu des colombophiles, qu’on entendait couramment lors des communiqués à la radio. Normal donc que l’acteur de Les convoyeurs attendent s’y retrouve…Ce nouveau film, coproduit par Pathé Films et Les Productions Ch’timi, est attendu pour février 2011 sur les écrans français et, sans doute, belges.
Dernière édition par BENGI* le Mer 22 Sep 2010 - 15:53, édité 1 fois | |
| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER Mer 22 Sep 2010 - 14:58 | |
| Date de pré sortie cinéma 26 janvier 2011 Date de sortie cinéma : 2 février 2011 Cette comédie met en scène deux douaniers, l'un Belge, l'autre Français, en 1993, après l'abolition des frontières en Europe. Pourquoi les faire atterrir en Bretagne ? « Je cherchais une chapelle sur l'océan, confie le réalisateur. J'ai choisi l'abbaye Saint-Mathieu parce qu'elle est d'une grande beauté, sauvage, préservée. »
Poelvoorde déchaîné
Sur la chute du film, tous les protagonistes restent bouche cousue. « La dévoiler serait dommage », poursuit Dany Boon. Il a travaillé avec l'équipe des Ch'Tis. « Là où j'ai eu le plus de pression, c'est à l'écriture. La mise en scène, ça roule. Surtout quand on travaille avec un immense acteur comme Benoît Poelvoorde. Un mec extra, dans le jeu et dans la vie. »
D'une énergie folle, signant des autographes, embrassant ses fans entre deux prises, commandant du chouchen à la cantonade, Poelvoorde s'arrête net : « Quand Dany m'a montré le scénario, j'ai dit banco immédiatement. Il a écrit le rôle (du douanier belge) pour moi. C'est comme enfiler un costume sur mesure. Dany est un metteur en scène très enthousiaste. On s'est énormément amusés sur ce tournage. Alors que c'est une comédie, le genre par excellence où les acteurs s'emmerdent ! Aussi bizarre que ça puisse paraître. »
Devant l'hôtel, les jeunes actrices Christel Pedrinelli et Julie Bernard profitent, rieuses, du soleil: « Julie joue Louise la sublime, auquel Mathias (Dany Boon) ne pourra résister. Christel est la femme de Ruben (Benoît Poelvoorde). Pour un premier tournage, quelle chance de jouer avec deux parfaits gentlemen, prévenants, généreux et accueillants ! »
Dany Boon fait l'unanimité : « Il invite tous les figurants à dîner, rencontre ses fans pendant des heures ; il est reconnaissant envers son public, confie Philippe Hamidou, son frère. J'ai fait les éclairages de ses spectacles pendant quinze ans, l'ai suivi dans les troquets pour ses premiers one-man-show. Sur Rien à déclarer, il m'a offert un nouveau boulot, les cadrages. Ce film va être une tuerie ! »
Frédérique GUIZIOU.
| |
| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER Mer 22 Sep 2010 - 15:22 | |
| Dany Boon a choisi le superbe site de la pointe Saint-Mathieu, près de Brest, pour tourner les derniers plans de son nouveau film, «Rien à déclarer», une comédie où il joue au côté de Benoît Poelvoorde. Après La Poste, c'est le petit monde des douaniers qu'il explore pour son troisième longmétrage.
L'un a le verbe haut, multiplie les plaisanteries avec les techniciens, ne tient pas en place. L'autre paraît sage, presque timide en comparaison. Benoît Poelvoorde et Dany Boon sont les hôtes, depuis lundi soir, de la commune de Plougonvelin. C'est sur le site de l'abbaye Saint-Mathieu qu'ils tournent depuis hier matin les tout derniers plans de ce film qui devrait apparaître sur les écrans en février 2011. «Nous avons filmé pendant treizesemaines dans la banlieue de Bruxelles, puis à la frontière franco-belge. Mais l'épilogue du film, c'est ici qu'il se situe», raconte le comédien-réalisateur. Il n'en dira pas plus sur le scénario. Venu en repérages en janvier dernier, Dany Boon est enthousiaste lorsqu'il évoque une pointe bretonne qu'il ne connaissait pas. «Mon dernier souvenir de la Bretagne, c'est le ménisque que je me suis cassé à la sortie d'un spectacle. Mais je ne me rappelle plus où. Ici, les gens ont beaucoup de sensibilité. Ils sont sympas, chaleureux, comme les gens du Nord. En fait, la seule différence, c'est que nous, on ne demande pas l'indépendance», souritl'acteur. L'histoire, c'est son comédien-vedette qui la résume. «L'action se passe au début des années 90. Je suis un douanier belge, très con, profondément raciste et surtout francophobe. Un mec qui fait tout pour emm... les Français qui passent la frontière. Mais, avec les accords de Schengen, les frontières disparaissent et il va être obligé de travailler avec ceux qu'il déteste, et surtout un qui est par ailleurs amoureux de sa soeur». Ce seront ses seuls mots sérieux. Remarquant que l'hostellerie Saint-Mathieu affiche une plaque «relais du silence», il rebondit: «Faudra que je revienne ici avec ma femme. Elle sera obligée de se taire pour une fois!», avant de partir d'un grand éclat de rire. Des fans belges
Au dehors, près de 80 techniciens et simples figurants attendent sagement que l'assistante de tournage leur donne le top départ. Parmi eux, quelques figures locales, habillées en pêcheurs, montées sur des vélos d'époque, ou en conducteurs de voitures aujourd'hui classées parmi les reliques. Dans quelques minutes, ils passeront devant les caméras, pour quelques secondes de gloire lorsque le film sortira. Une poignée de curieux, la plupart à la recherche d'autographes, sont tenus gentiment à distance. Sauf deux. Patricia et Thierry sont venus tout spécialement de Tarcienne, en Belgique. «On habite à 30km de chez Benoît Poelvoorde. Mais on est surtout fan de Dany Boon. On suit le tournage depuis le premier jour. Il était surpris de nous retrouver ici. Il nous a promis un cadeau». Un cadeau qui rejoindra les bouts de décors et les quelque 2.000 photos emmagasinés depuis le clap de départ. Un riverain a, lui aussi, le droit d'approcher. Il a su se faire apprécier ces dernières heures. Et les tournages, il connaît. «Ils sont venus filmer ?Dolmen? ici, et puis ?L'équipier?. C'est bien qu'il y ait du soleil. Comme pour le tournage avec Philippe Torreton... alors qu'ils avaient choisi le lieu et la saison pour avoir de la pluie. Il a fallu faire appel aux pompiers pour asperger les comédiens», sourit l'espiègle retraité. Sur le parvis de l'abbaye, l'avant dernier plan est «dans la boîte». Dany Boon se lâche enfin. Il grimpe sur le toit d'une Peugeot et fait le pitre. Avant de faire voter toute l'équipe sur le choix des mets pour le repas du soir. La veille, c'est Poelvoorde qui les a régalés au champagne, jusqu'à 2h du matin. Et a fait mentir à lui seul, par ses danses et ses chants, la réputation de calme de l'hostellerie.
Alain Coquil | |
| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| | | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| | | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER Ven 22 Oct 2010 - 0:59 | |
| | |
| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER Jeu 27 Jan 2011 - 0:47 | |
| Edition du lundi 17 janvier 2011 Béziers. CinémaDany Boon et Benoît Poelvoorde au Méga CGRRien à déclarer. Et bien si justement. Le réalisateur Dany Boon, les acteurs Benoît Poelvoorde et Zinedine Soualem, seront au Méga CGR de Villeneuve-lès-Béziers le 20 janvier à 17 h pour l'avant-première de Rien à déclarer, le film.
Avec ces trois-là, la rencontre promet de ne pas être triste. Après le succès des Ch'tis, Dany Boon revient sur le grand écran avec, encore une fois, une histoire qui se déroule dans sa région si proche de la frontière belge. Cette fois, c'est la vie des douaniers français et belges qui font la chasse aux passeurs dans les derniers temps où elle existait encore au sein de la Communauté européenne, en 1993. Le film se déroule à l'instant où le passage de la frontière n'est même plus une formalité. On peut se préparer à revivre des situations cocasses bien connues aussi du côté du Perthus avec ses guérites vides du jour au lendemain.
Mais, avec ces douaniers un peu particuliers, il y aura certainement beaucoup de choses à raconter. Ils ne cacheront rien des secrets du tournage, des crises de rires et autres secrets.
La sortie nationale de ce film sera le 2 février. Alors déjà, le Méga CGR a enregistré près de 500 réservations pour l'avant-première. Deux salles sont déjà prévues pour accueillir tous les spectateurs. Vu l'engouement, on peut parier qu'ils ne laisseront pas ces trois douaniers repartir facilement. C. C. | |
| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER Jeu 27 Jan 2011 - 0:51 | |
| Publié le 18/01/2011 09:56 | Nicole Clodi Dany Boon et Benoît Poelvoorde à ToulouseTrès attendus, Dany Boon, Benoît Poelvoorde et l'équipe de « Rien à déclarer », le prochain film de Dany Boon, qui sortira en salles le 2 février, débarquent demain à Toulouse. Au Gaumont Wilson et au Gaumont Labège…
Sidéré. Et pour l'étonner, il en faut, lui qui a connu les grandes messes marketing pour « Astérix » ou encore « Coco avant Chanel », en suivant, en 2009, Audrey Tautou dans toutes les salles de cinéma de France… En décembre, lors des avant-premières à Lille, Benoît Poelvoorde n'en revenait pas « Je n'ai jamais vu ça, et pourtant j'en ai fait des tournées. C'est impressionnant, au-delà du cinéma, c'est un phénomène. Dany, c'est John Lennon… », disait-il. 5 000 places avaient été vendues pour cette avant-première en pays Cht'is…
« Un raz-de-marée qui va déferler » Chez Pathé, distributeur et producteur du film, même musique, euphorique, emballée et emballante : « Rien à déclarer » le prochain film de Dany Boon, suscite engouement et curiosité partout ou il passe, depuis que la tournée a démarré en décembre. « Dire que la tournée est un succès, c'est être en dessous de la réalité. Partout c'est l'euphorie totale, c'est colossal », raconte Jean-Claude Bordes directeur général de la distribution Pathé « Dans toutes les villes des salles blindées de monde, des centaines de places refusées. A Lyon où le film était présenté dans quatre salles, plus de 2000 places vendues et autant de refusées. En Bretagne, itou… Les directeurs de salle nous disent aussi : Les spectateurs sont dans une attente incroyable. Pas un jour sans qu'ils nous demandent : Quand est-ce que le film sort ? » . Et il termine : « Je sais que ce n'est pas une science exacte et qu'en matière de cinéma, rien n'est jamais acquis, mais d'après ce que je vois et mon expérience, nous tablons à minima, sur dix millions d'entrées. Ce qui se passe est énorme. C'est un raz-de-marée. Et ça va déferler… »
Lancée en décembre dans tout le nord de la France, la tournée, avec équipe, de « Rien à déclarer », débarque demain, mercredi à Toulouse. Dans quatre salles, puisque l'équipe, composée de Dany Boon, Benoît Poelvoorde, Jérôme Commandeur, Zinedine Soualem et Laurent Gamelon, ira présenter le film à 20 heures dans trois salles du Gaumont Labège et fera une rencontre avec le public à l'issue de la projection, dans une salle du Gaumont Wilson.
Au Gaumont Wilson, l'affaire est déjà bouclée : à guichets fermés « Nous privilégions la rencontre avec le public. Donc une seule salle dédiée, la grande, avec ses 610 places », expliquait Véronique Naudin Fauchard, directrice « Et entre les places déjà achetées et les invitations, nous affichons complet depuis près d'une semaine »
Encore quelques places au Gaumont Labège Au Gaumont Labège, trois salles sont consacrées à l'affaire, soit près de 1 200 places. Hier soir, sept cents places étirent déjà vendues. « Par expérience, nous savons que le nombre de places vendues la veille doit être multiplié par deux pour connaître le résultat final » détaillait Patrice Prat, directeur. Autrement dit, tout devrait être complet mercredi. Mais il reste encore des places aujourd'hui… Et il nous confiait, par ailleurs, « qu'en prévision du tsunami Boon », la direction de Gaumont, à Paris « avait demandé à ses cinémas de prévoir davantage de confiseries et de personnel, en février. Histoire de pas être débordé. »
Rien de plus à déclarer ? Si, pour passer les douanes du succès, le film qui sortira sur 900 copies en France sera en pré-sortie 26 janvier dans le Nord et déboulera sur les écrans du reste de la France le 2 février. Pas de doute, qu'alors, tout le monde va avoir l'œil sur les chiffres. | |
| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| | | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER Jeu 27 Jan 2011 - 1:02 | |
| MONTPELLIER 21 JANVIER 2011. Vous avez le droit. Le droit de vous poser la question : est-ce que Dany Boon et Benoît Poelvoorde sont aussi tordants en conférence de presse qu'ils le sont dans leurs rôles au cinéma ? La réponse est oui, triplement oui ! Le duo de choc était hier à Montpellier pour la présentation du dernier film de Dany Boon, Rien à déclarer. Histoire de 'dégonfler' le domaine 5 étoiles de Verchant qui les accueillait, les compères n'auraient pas pu s'y prendre autrement. « Ici, ils louent seulement les chambres à la semaine... Ben ouais, faut deux jours pour trouver la lumière tellement c'est sophistiqué ! »
À la cool, ultra-décontractés, Dany, Benoît et les autres se sont juste éclatés à se boîter devant les journalistes. Boon allant même jusqu'à demander leur carnet de correspondance à deux photographes en 'chamaillade aiguë' pour être au premier rang. Laurent Gamelon (truand dans le film) à propos de Boon : « On arrive de Béziers. Sur la route, il a balancé 3 millions d'euros par la fenêtre. Ce mec est un connard, une véritable ordure. En plus, il fait des soirées pédophiles ! » Blagues à tout va. Et ça balance et ça envoie. Boon à propos de Poelvoorde : « À Béziers, il croyait que le stade, c'était un pont en cours de construction. Quand on lui a dit qu'il était en Ovalie, il a répondu qu'il comprenait rien au foot ! » Plutôt branché Paris-Roubaix, le duo de choc s'est une nouvelle fois vu comparé au tandem Bourvil-De Funès. Hors caméras, entre les deux, c'est clair, la connerie a de beaux jours devant elle. Photos Éric CATARINA | |
| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER Jeu 27 Jan 2011 - 1:17 | |
| 26 janvier 2011«Rien à déclarer» : Dany Boon - Benoît Poelvoorde.. le match franco-belge« Rien à déclarer » sort aujourd’hui dans le Nord. Cette comédie met aux prises deux douaniers de part et d’autre de la frontière franco-belge. Jeu des comparaisons avec Dany Boon, le Ch’ti, et Benoît Poelvoorde, le Wallon.
Hubert Lizé | Publié le 26.01.2011, 07h00 Priorité au plat pays! Trois ans après le carton de « Bienvenue chez les Ch’tis », les spectateurs nordistes ont la primeur du nouveau film de Dany Boon « Rien à déclarer », qui sort aujourd’hui sur 87 écrans du Nord-Pas-de-Calais et de Belgique, avant de déferler dans toute la France le 2 février. La comédie met aux prises un douanier belge xénophobe et farouchement antifrançais incarné par Benoît Poelvoorde, face à un brave homologue tricolore interprété par Dany Boon, dans le village frontalier de Courquain.
Obligés de collaborer, les deux gabelous se marquent sévèrement à la culotte. Au fait, des Belges où des Ch’timis, qui sont les meilleurs? Pour le savoir, nous avons soumis les deux compères à un questionnaire implacable. Dany Boon, natif d’Armentières (Nord), et Benoît Poelvoorde, citoyen de Namur (en Belgique), ont joué le jeu.
La meilleure bière ? DANY BOON. Pour moi c’est la Ch’ti. Et aussi la Choulette, une bière brassée dans le Nord. J’apprécie la Chimay, mais elle est trop nourrissante. Ça vaut un steak! Le problème avec la bière, c’est que tu ne te rends pas compte que t’es bourré. Tu te lèves, et tu t’étales. BENOÎT POELVOORDE. Moi, c’est une bière blonde flamande : la Duvel. Je me souviens de ma première cuite. A 12 ans, en colonie de vacances. On est allé au café avec des copains plus âgés. J’ai bu trois Roundebach grenadine. Radical! Depuis, la seule vue de la grenadine me rend malade.
Les frites les plus authentiques ? D.B. Question frites, je me demande si on n’a pas pompé sur les Belges. Pour la friture, ils sont vraiment balaises. B.P. C’est parce qu’on pratique la double cuisson, avec de la graisse de bœuf. Mais le top en Belgique pour les frites, ce sont les sauces. Pour tout ce qui est malbouffe, on est quand même costauds, nous, les Belges! Personnellement, j’adore faire les frites, mais ma femme me l’interdit, à cause de l’odeur. Alors à Noël, j’ai profité de son départ pour acheter une friteuse en douce.
L’accent le plus prononcé ? D.B. Entre les Wallons et les Ch’tis, il y a pas mal de similitudes. B.P. Y a plein de mots dans le dialecte belge qui ressemblent à du ch’ti. L’expression « Une fois », popularisée par Coluche, c’est en fait l’accent d’un quartier de Bruxelles.
L’uniforme de douanier ? D.B. Le belge est le plus seyant. A cause de la casquette. Le képi français, imposé jusqu’en 1995, c’est quand même pas terrible. B.P. C’est vrai que le képi, c’est dur. On est tous égaux devant le képi!
Brel ou Brassens? D.B. J’ai beaucoup pleuré sur Brel, et à chaque fois que je vois le rideau rouge de l’Olympia, je pense à lui revenant sur scène en peignoir le soir de ses adieux, parce que les gens le rappelaient et refusaient de quitter la salle. B.P. J’ai aussi une préférence pour Brel, à cause de son panache, de son côté brut, animal. Celui qui ne pleure pas sur « les Vieux amants » est insensible. C’était aussi un sublime acteur dans « l’Emmerdeur », « Mon oncle Benjamin », « L’aventure c’est l’aventure »…
Plutôt roi ou président? B.P. Votre président est un roi (rires). Et notre roi ferait bien d’être un peu plus président. D.B. Ça serait bien que le roi des Belges ait davantage de pouvoirs…
Astérix ou Tintin? D.B. Avec Casterman et Hergé, l’invention de la ligne claire, les Belges restent une référence indépassable en BD. B.P. Oui, mais qu’est-ce qu’il dessine bien Uderzo ! J’adore ses arbres dans « Astérix??». Sur « Astérix et Cléopâtre », il a fait mon portrait en Brutus. J’étais hyper content. Les films de Dany ressemblent à des décors de BD.
Frontières ou pas ? B.P. Moi, j’y crois pas aux frontières. D.B. Je trouve ça absurde aussi. Malheureusement, elles sont nécessaires par rapport à la nature humaine. B.P. C’est vrai. Un peu comme les accoudoirs dans le TGV http://www.leparisien.fr/jeu/rienadeclarer/jeu.php | |
| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| | | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER Lun 31 Jan 2011 - 16:50 | |
| | |
| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER Lun 31 Jan 2011 - 17:19 | |
| Secrets de tournage Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Rien à déclarer "Histoires personnelles La romance que Dany Boon raconte dans Rien à déclarer s'inspire de l'histoire de ses parents. "Mon père était kabyle et ma mère française. Tombée enceinte très vite, elle a été rejetée par une partie de sa famille. Ce sont des choses qu’on n’oublie pas quand on les vit comme moi enfant…," raconte le réalisateur. D'autre part, l'idée de faire un film sur la frontière franco-belge lui est également venue de son expérience personnelle. Il explique : "(...) j’ai franchi à de nombreuses reprises cette fameuse frontière entre les deux pays. (...) À l’époque, j’avais les cheveux longs et avec mon carton à dessins et mes badges à l’effigie de Cure, je me faisais arrêter et fouiller par les douaniers à chaque fois. Et là, quand je suis repassé par cette douane que je connaissais si bien, je suis tombé sur un véritable no man’s land (...). On se serait cru dans une rue de western. J’ai tout de suite pensé qu’il y avait là un sujet éminemment cinématographique."
Recherches Avant de commencer le tournage de son film, Dany Boon a rencontré plusieurs anciens douaniers qui étaient encore en exercice en 1993, date de la disparition des postes. L'un d'eux a même confié au réalisateur une vidéo du dernier jour des frontières, qu'il avait filmé au caméscope. Dany Boon s'est également plongé dans les archives de l'époque pour préparer son film.
Sujet sensible Cette nouvelle comédie est également l'occasion pour Dany Boon d'aborder un sujet sensible de façon détournée, celui du racisme. "Avec "Rien à déclarer", j’ai (...) voulu imaginer une comédie qui permettrait d’aller très loin dans le racisme sans le moindre malaise. Puisque les Français et les Belges sont des cousins, la francophobie de Ruben Vandevoorde peut sonner réaliste, faire rire et réfléchir. On peut dire beaucoup de choses sur le patriotisme ou le racisme en agissant, ainsi, par ricochet. Il suffit de remplacer, dans la bouche de Ruben, le mot «français» par «arabe», «juif» ou «noir» et la dimension devient soudain différente," explique le réalisateur.
Une ch'tite pression Difficile de passer après le deuxième plus grand succès de l'histoire du box-office français ! Après le fameux Bienvenue chez les Ch'tis (son précédent film), Dany Boon avait ainsi placé la barre très haut. Il raconte :"Beaucoup de réalisateurs et producteurs m’avaient (...) expliqué à quel point il était difficile de se remettre à l’écriture après un succès. (...) concrètement, à partir du moment où j’ai eu mon sujet, tout s’est bien passé. En tout cas, j’étais à l’aise avec mon histoire. Mais j’avais malgré tout, toujours dans un coin de ma tête, l’idée que j’allais être très attendu. Et je me suis surtout mis une pression en me disant qu’il ne fallait pas que je déçoive."
Double casquette Dany Boon, réalisateur et acteur de cinéma, mais aussi comédien de one man show, fait une grande différence entre ses deux professions. "Pour moi, l’écriture d’un one man show s’apparenterait à du fusain," explique-t-il. "On dessine une esquisse très libre qu’on va faire naturellement évoluer sur scène. Alors que le cinéma, c’est de l’aquarelle faite avec des coups de pinceaux définitifs et dont la moindre modification risque de rendre l’ensemble très moche. Contrairement au théâtre, on a en permanence le nez sur son sujet sans prendre de recul. Comme si on peignait d’abord un œil puis un sourcil puis un nez… Avoir en tête toute la représentation du corps dans son entier est indispensable, sinon le résultat final va être disproportionné. Mais ce que j’adore dans le cinéma, c’est le côté équipe, famille, qui va dans le même sens pour accompagner, aider ou contraindre le réalisateur."
Réalisateur avant tout ! Après La Maison du bonheur (2006) et Bienvenue chez les Ch'tis (2008), Rien à déclarer est le troisième long métrage réalisé par Dany Boon. Également acteur dans chacun de ses films, le cinéaste avoue prendre plus de plaisir en tant que réalisateur : "(...) j’ai tendance à préférer les moments où je ne joue pas. Je dois avouer une grande jubilation à diriger et observer mes acteurs mettre en vie mes personnages."
Rencontre En apprenant que Dany Boon écrivait un rôle pour lui, Benoît Poelvoorde est tout de suite allé voir son dernier spectacle. C'est à ce moment que les deux acteurs se sont vraiment rencontrés, autour d'un verre, après la représentation. Dany Boon a ensuite envoyé le scénario de Rien à déclarer à Poelvoorde. "(...) j’ai tout de suite aimé son scénario parce que j’ai trouvé ça très drôle. Mais moins drôle pourtant que le résultat final et même que le tournage où on s’est vraiment tous marré du début à la fin et où on avait senti cette tonalité là envahir le film. En tout cas, en refermant le scénario, j’étais sûr d’une chose : du plaisir que j’allais avoir à jouer dans ce film !," raconte l'acteur.
Points communs Dany Boon et Benoît Poelvoorde, qui ne s'étaient jamais vraiment rencontrés avant le tournage de Rien à déclarer, se sont découverts de nombreux points communs. En effet, les deux acteurs ont fait la même école, Saint-Luc, dans deux villes différentes. Ils ont également les mêmes gouts en matière de musique et leurs parents ont eu des parcours similaires (leurs pères étaient routiers et leurs mères commerçantes).
Echange de compliments Dany Boon a immédiatement pensé à Benoît Poelvoorde pour incarner le personnage de Ruben. "(...) Benoît a une telle humanité que tout passe avec lui, quelles que soient les horreurs qui puissent sortir de sa bouche. C’est d’ailleurs la première fois que j’écris pour un acteur. (...) Il a donc été une évidence dans ce rôle mais il est malgré tout encore arrivé à me surprendre ! Il m’a montré des choses que je n’avais jamais vues de lui. À chaque scène, il donne tout, il est entier. Il n’y a aucune demi-mesure avec lui," explique le réalisateur. Et Benoît Poelvoorde de rétorquer au sujet de Dany Boon : "Il sait très bien ce qu’il veut donc il te laisse beaucoup de liberté. Avec lui, on ne fait pas beaucoup de prises, mais sur chacune, il travaille avec toi. (...) Il travaille comme tous les grands, à l’oreille. Mais aussi et surtout, c’est un gourmand, un jouisseur. (...) Dany est un mec de scène. Il a le rythme de son film et de chaque réplique en tête, comme un chef d’orchestre avec ses musiciens."
Faveur Benoît Poelvoorde a accepté d'assister à la projection de Rien à déclarer. Rien d'anormal à première vue, sauf quand on sait que l'acteur, qui n'aime pas se voir à l'écran, ne va plus voir ses films depuis 6 ans. Il s'agit donc d'une vraie faveur que Poelvoorde a faite à Dany Boon. "Une fois que j’étais dedans, je suis resté, mais je vivais une double angoisse. La première : me revoir à l’écran après tant d’années. La deuxième, liée au film lui-même. Mais Dany a réussi ce qu’il voulait : cet équilibre entre humour et tendresse," raconte l'acteur.
Fils de douanier Rien à déclarer marque la 8ème collaboration entre Benoît Poelvoorde et Bouli Lanners. Ce dernier, qui joue le rôle du collègue de Ruben, a lui-même fourni les costumes d'époque. Et pour cause, le père de l'acteur a réellement été douanier et confiait occasionnellement (pendant ses siestes) à son fils la garde de la guérite.
Retrouvailles Dans Rien à déclarer, Dany Boon retrouve Karin Viard, à qui il avait déjà donné la réplique dans Le Code A Changé, et Laurent Gamelon, qu'il avait dirigé dans La Maison du bonheur.
On échange les rôles ! Dany Boon avait initialement pensé confier le rôle du restaurateur à Bouli Lanners, et celui du douanier Bruno Vanuxem à François Damiens. Au fur et à mesure de l'évolution du scénario, le réalisateur a finalement décidé de faire l'inverse.
Premier rôle Julie Bernard, qui incarne la sœur de Ruben, fait avec Rien à déclarer ses premiers pas sur grand écran. Dany Boon raconte : " Ses essais m’avaient convaincu qu’elle était parfaite pour le rôle mais il me restait l’angoisse liée au fait qu’elle n’avait jamais tourné. (...) si Julie a été très tendue le premier jour de tournage, elle a ensuite été incroyable. J’ai été épaté par sa prestation et ce d’autant plus que la palette d’émotions qu’elle a eu à interpréter était énorme : entre la comédie, la colère et les larmes…"
Décors Comme pour dans Bienvenue chez les Ch'tis, Dany Boon a fait appel pour son nouveau film au chef décorateur Alain Veissier et au directeur de la photographie Pierre Aïm. Il explique : "(...) le décor est dans "Rien à déclarer" un personnage à part entière. Tous ces éléments ont été créés pour le film et construits avec un sens permanent du détail. (...) je voulais créer un contraste entre les extérieurs hivernaux et les intérieurs plus chaleureux, avec une différence cependant : la douane belge a un côté campagnard et la française un aspect plus fonctionnaire."
Cascades Tourner des scènes d'action était une expérience nouvelle pour Dany Boon. Prenant tout son temps pour la scène de la course-poursuite, il s'est notamment équipé d'une technologie russe, l’Ultimate Arm (un bras robotisé fixé sur le toit des véhicules et permettant de filmer rapidement sous tous les angles). En tant qu'acteur, Dany Boon a pris beaucoup de plaisir à tourner ces scènes. Benoît Poelvoorde, quant à lui, n'en menait pas large. "(...) j’ai adoré faire l’andouille et rouler comme un dingue au volant d’une 4L. Et j’étais mort de rire rien qu’en regardant Benoît paniquer à mes côtés," raconte le réalisateur.
Scène coupée Une séquence de 10 minutes qui devait initialement figurer à la fin du film a finalement été coupée au montage. "J’étais parti de l’idée que, très souvent, les étrangers deviennent plus racistes sur les étrangers que les gens des pays dans lesquels ils sont installés et qu’ils refusent, eux, d’être associé à ce mot «d’étranger». J’avais donc inventé des origines bretonnes au père de Ruben qui, après avoir souffert du racisme plus jeune, était devenu plus belge que belge. Ça fonctionnait à la lecture mais pas du tout à l’image pour la bonne et simple raison que ça abîmait le personnage de Benoît," raconte Dany Boon.
Pré-sorties Rien à déclarer est sorti le 26 janvier 2011 (soit une semaine avant la date officielle), dans le Nord de la France et en Belgique, en hommage aux origines de Dany Boon et de Benoît Poelvoorde.
Le premier plan Benoît Poelvoorde, qui a exceptionnellement accepté d'aller se voir à l'écran, décrit le plan d'ouverture de Rien à déclarer : "On y entend la belle musique de Philippe Rombi et ses petites clochettes qui donnent tout de suite un air de Noël, puis on découvre la neige fondant sur le bord des fenêtres, les couleurs, le décor et la première phrase dite par Bouli. C’est comme ouvrir les premières pages d’une BD d’Uderzo ou de Hergé. Ou découvrir les premières images d’un Demy. Le ton est donné. Certains refuseront peut-être de rentrer dans cet univers. Mais une fois qu’on est à l’intérieur, on n’en sort plus. Dany est un enchanteur. Dans ses films, tout paraît plus beau, des journaux aux pièces de monnaie… Il a reproduit ce qu’on adorait dans les comédies de Gérard Oury où le soleil brillait sur Paris comme on ne l’a jamais vu briller !" | |
| | | BENGI* Admin
Nombre de messages : 1637 Age : 75 Localisation : BANLIEUE - PARIS. Loisirs : PHOTO - PEINTURE - CINEMA. Date d'inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER Mer 2 Fév 2011 - 0:49 | |
| Lieux de tournages du film Rien à Déclarer.1. Le poste-frontière en carton-pâte
Le nom de Macquenoise n’apparaît pas dans « Rien à déclarer ». Le poste-frontière est baptisé Courquain du côté français et Koorkin du côté belge. 6593 Macquenoise
2. Le Val d’Oise - « Café de la douane » se transforme en « Le Coq hardi », tenu par Robert Fortemps dans le film. Le Val d’Oise 9, 6593 Macquenoise
- A quelques pas, la station-service Texaco de Catherine Tonglet a été quelques peu modifiée le temps du tournage. Le Val d’Oise 11, 6593 Macquenoise
- Le bar « Chez Marianne » est transformé pour les besoins du film en une chocolaterie Godiva. Le Val d’Oise 7, 6593 Macquenoise
3. Le restaurant « Le Charlemagne » Situé du côté français, l’établissement sert à l’équipe de tournages de cantine, de loge, de salle de maquillage… Le Charlemagne, Route de Macquenoise, 02500 Hirson
4. L’équipe du film logée à ValJoly Côté logement, l’équipe du film (200 personnes) a pris ses quartiers au ValJoly, une station touristique située à 20 km de Macquenoise et de Chimay. Station touristique du ValJoly, Maison du ValJoly, 59132 Eppe-Sauvage
5. Collégiale Saints-Pierre-et-Paul de Chimay Pour l’occasion, la paroisse avait conservé toutes ces décorations de Noël jusqu’au tournage qui avait lieu à la fin du mois de février. Collégiale Saints-Pierre-et-Paul, Rue Fromenteau 28, 6460 Chimay
6. Grand’Place et la fameuse course poursuite à pied Ruben Vandevoorde poursuit son collègue français dans les vieilles rues de Chimay. Un trajet qui va le mener de la Grand Place jusqu’au domicile de sa sœur Louise. Grand’Place, 6460 Chimay
7. Un lieu central de « Rien à déclarer » Le domicile de la ravissante chocolatière Louise, la sœur du douanier belge Ruben Vandevoorde et la fiancée du douanier français Mathias Ducatel. Rue d’Angleterre 16, 6460 Chimay
8. Le trait d’union entre la Belgique et la France Située juste en face, la quincaillerie Hannecart-Petrisot a, elle aussi, modifié sa vitrine. Quincaillerie Hannecart-Petrisot, Rue d’Angleterre 11, 6460 Chimay
9. Le Four Matot Ruben Vandevoorde se lève la nuit avec son fils Léopold pour déplacer un panneau en plein champ qui indique la frontière entre la France et la Belgique. Le Four Matot, 6593 Macquenoise
10. Le Garage Vanuxem Le Garage Vanuxem, où la 4L de nos douaniers est customisée, a été installé dans un véritable garage, le Garage Dubois, situé sur la commune de Séloignes. Garage Dubois, Grand Rue 10, 6596 Séloignes
11. La scène de la salle de bain …où le personnage de Dany Boon rencontre sa belle-famille et retrouve secrètement sa fiancée Louise. Epicerie de Séloignes, Route de Macquenoise 5, 6596 Séloignes
12. La folle course poursuite en 4L Nos douaniers traquent un contrebandier. Scène tournée entre Onhaye et Dinant sur la nationale 97. 5520 Onhaye
13. La demande en mariage au Volle Gas de Bruxelles Cette scène inoubliable a été tournée dans le célèbre restaurant de Bruxelles le Volle Gas. Le Volle Gas, Place Fernand Coq 21, 1050 Bruxelles (Ixelles) | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: RIEN A DECLARER | |
| |
| | | | RIEN A DECLARER | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |