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 FESTIVAL DE CANNES 2006.

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MessageSujet: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyJeu 20 Avr 2006 - 19:31

Ben va certainement monter les marches...et écumer les bars
http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=3438
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyVen 19 Mai 2006 - 14:38

FESTIVAL DE CANNES 2006. Servat-cannes POUR LES AMOUREUX DU CINEMA
FESTIVAL DE CANNES 2006. 0,,1_201809189_290,00



QUELQUES SITES Wink

http://www.festival-cannes.fr/

http://www.cannes2006.com/

http://mediterranee.france3.fr/dossiers/20843462-fr.php#TOP

http://www.canalstars.com/canalstars%5Ccanalstars.nsf/0/E5D47EF28B27F106C125717200470949?open

EN COMPETITION Wink http://www.filmdeculte.com/dossier/festival-de-cannes-2006/selection-officielle.php

http://www.cineuropa.org/newsdetail.aspx?lang=fr&documentID=64635

http://festival-cannes.france2.fr/

http://www.festival-cannes.fr/index.php

http://www.quinzaine-realisateurs.com/

http://fr.fc.yahoo.com/c/cannes.html

http://fr.wikipedia.org/wiki/Festival_de_Cannes_2006#Films_en_comp.C3.A9tition

ETC....................

ET SURTOUT............... Laughing Cool
http://fr.wikipedia.org/wiki/Selon_Charlie cheers

DE NICOLE GARCIA FESTIVAL DE CANNES 2006. Nicole
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyVen 19 Mai 2006 - 15:02

merci pour tout ces liens adore
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyDim 21 Mai 2006 - 14:55

Benoît(s),FESTIVAL DE CANNES 2006. 586709013a3042ea9060dacda7f39b Jean-Pierre & Vincent selon Nicole... Wink FESTIVAL DE CANNES 2006. 58670eed4e68e839407238a7db00fe

..............FESTIVAL DE CANNES 2006. 58670957766ad9bcf577bd314aabbf................FESTIVAL DE CANNES 2006. 58670b08890dbcddd98763aa427efb




Premier film français de cette compétition cannoise, Selon Charlie de Nicole Garcia est également le premier à diviser les festivaliers. Au même titre que Peindre Ou Faire L'Amour des frères Larrieux avait fait parler de lui l’an dernier, ce film choral sur les destins croisés de sept hommes n’a pas fait l’humanité.
Dommage car le talent remarquable de Nicole Garcia fonctionne ici à merveille, offrant de sublimes « seconds » rôles à quatre grands acteurs français. Des dialogues très bien écrits et surtout très bien interprétés pour nous raconter une histoire banale, celle de sept hommes différents face à leur destin. D’accord, Jean-pierre Bacri campe son éternel râleur, Benoît Poelvoorde un looser drôle et touchant, et Vincent Lindon un père de famille paumé… mais ils le font tellement bien ! Quant à Benoît Magimel, il interprète sans doute l’un des personnages les plus intéressants du film. Son histoire est d’ailleurs peut-être plus au centre que les autres, et sûrement plus universelle. Au même titre que Charlie, l’enfant, il fait en quelque sorte le lien entre tous ces hommes.


On regrette alors qu’un si beau film d’auteur français ait tant de mal à toucher les festivaliers étrangers, mais l’on comprend finalement qu’ils aient du mal à cerner toute la générosité du scénario à travers des dialogues sous-titrés…

Un sentiment rapidement confirmé par la conférence de presse du film, où étaient essentiellement présents les journalistes français, belges… et finnois (présence au générique de la comédienne finnoise Minna Haapkyla, dans le rôle de la femme de Benoît Magimel). Une ambiance très étrange régnait d’ailleurs dans cette conférence où Benoît Poelvoorde a d’emblé essayé de donner un ton délibérément pas sérieux ! Drôle, délirant, parfois trop, mais heureusement, ses collègues n’étant pas vraiment dans l’ambiance euphorique du comédien belge. N’est-ce Jean-pierre Bacri ? Vous pouvez nous parler de votre personnage, Jean-Louis Bertagnat, ou plutôt Mr le Maire ?
Jean-pierre Bacri : « C’est un gars qui abandonne la représentation pour avoir une vie à lui… Ah, ça y est, je dis des phrases bateaux. J’ai beaucoup de mal à parler comme ça de mes personnages. Je choisis le rôle parce que j’ai aimé le scénario, je fais le film, mais je ne sais pas comment l’expliquer… » Bon, visiblement, les conf’ de presse, c’est pas son truc à Jean-Pierre. Lui son truc, c’est jouer… Pour notre plus grand plaisir d’ailleurs !


Passons à Vincent, plus bavard vous pensez ? Et bien oui !
Vincent Lindon : « J’pensais pas avoir à répondre à une question… Bon allons-y. Oui alors, ce qui m’a attiré le plus dans ce personnage, c’est qu’il soit empêtré dans sa relation avec son fils. C’est vrai qu’il le prend en otage, mais il l’aime ; et c’est sa manière propre d’avoir cette connivence avec lui. (…) C’est intéressant de ne pas avoir le rôle principal car on ne fait pas forcément le tour de la question et de temps en temps, c’est pas plus mal ! » Ce à quoi Benoît ne manque pas de répondre : « J’étais très embêté de jouer avec d’autres, de devoir partager la tête d’affiche » (rires).
Et vous Nicole, qu’en pensez-vous de tous ces hommes ? « Le film est une photographie des hommes, des contradictions des hommes, de ce mélange de robustesse et de fragilité que l’on trouve chez eux. » Des hommes, des hommes, mais aussi un enfant, Charlie, personnage qui est d’ailleurs au cœur du titre.
Nicole Garcia : « J’aime bien ce titre. Charlie n’est pas la figure centrale du film mais il est l’enfant. Il y a une espèce de valeur étalon de l’enfant, il marque l’enfance que tous les personnages portent en eux. Et puis il y a dans le film cette offense faite à l’enfance par son père qui le prend comme alibi pour son adultère. »


Tiens, mais au fait Benoît Magimel n’a pas encore parlé. Qu’en pense t’il lui de Nicole ?
Benoît Magimel : « Je me suis laissé complètement porté par la direction et les désirs de Nicole pour ce film. Mon personnage et tous les autres sont très touchant, ils reflètent quelque chose d’universel, quelque chose que l’on désire beaucoup. »…. Oui bon, pas très bavard non plus ! Revenons à Poelvoorde pour fini, de retour à Cannes après avoir été membre du jury en 2004. « Je suis très serein pour cette présentation en compétition. Ce film, c’est tellement Nicole que nous, les acteurs, nous sommes déchargés [ah, ce doit être pour cela qu’ils ne sont pas plus bavards que ça !], elle porte son film… Je suis donc très content et très tranquille. Et puis ici, à Cannes, ce sont quand même les plus belles projections du monde. »



Amélie Chauvet (Cannes, le 20 mai 2006)
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyDim 21 Mai 2006 - 15:05

merci 102 bengi
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyLun 22 Mai 2006 - 0:45

Benoît Magimel, Ferdinand Martin, Jean-Pierre Bacri et Vincent Lindon entourent Nicole Garcia sur le tapis pour la projection de Selon Charlie.
AP




SELON CHARLIE

Les hommes de Garcia

Gilles Carignan

Le Soleil

Cannes


Pour décoiffer à Cannes hier, heureusement qu’il y avait le vent. Un vent chaud et infatigable, qui transformait la Méditerranée en une mer de houle sans fin. Dans ces circonstances, vivement l’apéro sur la terre ferme, et non sur un de ces yachts rutilants, sur lesquels de toute façon on ne peut que fantasmer, à défaut de détenir le sésame V.I.P.

Question « houle », les écrans fréquentés hier en étaient dépourvus. Pas même le hard Shortbus de l’Américain James Cameron Mitchell, qui filme son sexe vrai, dans toutes les positions, et toutes les combinaisons, à deux, à trois, en bande. Shortbus est le nom d’un joyeux bordel new-yorkais, où des trentenaires en mal de sensations trompent l’ennui. « Le seul moment réel qu’ils ont eu dans leur vie, c’est le 11 septembre », commente l’hôte des lieux. Un film-choc ? Shortbus est surtout la comédie amusante, mais lassante, d’un cinéaste qui en avait marre du sexe triste des films contemporains.

Sur un tout autre terrain, la France entrait en compétition avec Selon Charlie. Après le film de femmes de Pedro Almodovar, voilà le film d’hommes de Nicole Garcia.







Six hommes, confrontés à l’impasse de leur vie le temps d’un colloque scientifique dans une petite ville côtière où leurs destins se croisent.

Pourquoi aimez-vous tant filmer les hommes, Madame Garcia (Le Fils préféré, L’Adversaire) ? Pour « leur photogénie », et pour « leur mélange de robustesse et de vulnérabilité. Dès qu’il y a une telle contradiction, on a de beaux personnages ».

En effet, il n’est pas sans intérêt de suivre ce ballet masculin chorégraphié comme une accumulation de petits « éclats de vie », qui composent une mosaïque révélant la solitude profonde de tous ces êtres.

N’empêche, malgré la présence des Benoît Poelvoorde, Vincent Lindon, Benoît Magimel et Jean-Pierre Bacri — encore irrésistible en maire de bourgade —, Selon Charlie ne séduit pas jusqu’au bout.



Un tas de tics



La mécanique du chassé-croisé est bien huilée, mais non exempte de clichés. Et surtout, le scénario cultive un tas de tics propres à un certain cinéma d’auteur, qui cherche l’humain en se prenant affreusement au sérieux. De telle sorte que c’est l’agacement qui s’éveille peu à peu au fil des deux heures vingt de ce pensum (du reste bien tourné).

On a couru néanmoins à la conférence de presse, en se disant qu’avec Poelvoorde dans le rôle de l’andouille (c’est lui qui le dit), et l’humour pince-sans-rire à la Bacri, on allait s’amuser un peu.

Le Belge a bien tenté la carte de l’autodérision, en vain. Et Bacri ? « Je n’aime pas tellement commenter mes personnages, je laisse ça aux commentateurs. » Entendu.
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyLun 22 Mai 2006 - 16:24

vidéo Wink photos Wink

http://www.lexpress.fr/mag/arts/dossier/cannes/dossier.asp?ida=438279


http://festival-cannes.france2.fr/

http://festival-cannes.france2.fr/lagazettedufestival/index-fr.php

http://festival-cannes.france2.fr/lagazettedufestival/21314454-fr.php
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyLun 22 Mai 2006 - 16:38

merci cheers cheers
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyLun 22 Mai 2006 - 16:43

la monter des marches
http://recherche.tf1.fr/recherche/parmotscles/interne/?o=2&query=sophie+marceau
troisième ligne selon charlie (vidéo des marches)
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyMar 23 Mai 2006 - 10:10

Tuesday, May 23, 2006 Accueil Archive Contact




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Cannes : La France rate son entrée avec «Selon Charlie» (5/22/2006)


L¹intensité de la compétition du 59e festival de Cannes a baissé d¹un cran samedi avec la première entrée française, « Selon Charlie », qui n¹a pas convaincu la presse au vu des quelques applaudissements timides et autres sifflets qui ont accueilli sa projection.
Plus intéressant était « Red Road », seul premier film de la compétition, proposé par la Britannique Andrea Arnold.
«Selon Charlie», réalisé par Nicole Garcia, actrice devenue réalisatrice et qui présentait « L¹Adversaire » en compétition voici quatre ans, reprend le schéma des destins croisés. Des hommes contemporains trompent leur ennui, le vide ou l¹insatisfaction de leur vie comme ils peuvent dans une ville des bords de l¹Atlantique.
Jean-Pierre Bacri interprète le maire local, qui a une liaison avec une jeune fille, qu¹on lui conseille d¹abandonner à l¹approche des élections. Vincent Lindon travaille dans une station thermale et trompe son épouse avec l¹amie d¹un professeur de biologie (Benoît Magimel).
Lui-même hésite entre rester professeur de lycée et repartir en expédition archéologique, lorsque revient pour une conférence son ancien compagnon d¹expédition (Patrick Pineau). Benoît Poelvoorde joue un déclassé en liberté conditionnelle, qui participe à une petite entourloupe minable.
Arnaud Valois est un jeune champion de tennis qui ne tient plus la cadence. Certains de ces hommes en quête de soi se rencontreront, d¹autres non. Le catalyseur de leur rencontre sera le jeune fils de Vincent Lindon (Ferdinand Martin), qui ne supporte plus la liaison adultérine de son père.
«Selon Charlie» égrène ainsi durant plus de deux heures une suite de tableaux et de situations sans solution de continuité et sans constituer à proprement parler une histoire, ce qui peut expliquer l¹accueil pour le moins réservé au film.
«Selon Charlie» doit sortir le 26 août. «Red Road» est autrement plus inspiré.
Jackie (Kate Dickie, dont c¹est le premier rôle au cinéma) travaille dans la vidéosurveillance, surveillant les allées et venues de ses compatriotes. Un jour, elle capte dans le viseur d¹une caméra le visage d¹un homme responsable d¹un drame familial. Elle va faire ce qu¹il faut pour se venger de lui. C¹est du moins son intention au départ.
«Red Road» est en fait le premier de trois longs métrages qui doivent constituer l¹«Advance Party». Ce concept, précisent les notes de production, « implique que trois réalisateurs développent des scénarios en se basant sur un même groupe de personnages», personnages qui leur sont imposés et interprétés par les mêmes acteurs dans chacun des films.
On retrouve parmi les producteurs Zentropa, la société de production du cinéaste danois Lars Von Trier, qui avait emporté la Palme d¹or à Cannes en 2000 avec «Dancer in the Dark». Il avait lancé en 1995 le Dogme, qui ambitionnait de revenir à une certaine virginité du cinéma en supprimant en particulier toute lumière d¹appoint ou musique qui n¹était pas directement interprétée dans le film.
«Red Road» semble emprunter quelques-uns de ces principes. C¹est une Ecosse urbaine, glaciale et pauvre qu¹Arnold donne à voir au travers de multiples écrans de télésurveillance à l¹image numérique grossière.
«Cru» est l¹adjectif qui qualifierait le mieux ce film, à l¹exemple de ceux du Dogme, qu¹il s¹agisse de sa lumière ou de la violence, morale ou physique, des situations qu¹il dépeint, notamment une scène de sexe dont l¹exposition brutale n¹est pas sans rappeler celle des « Idiots », un autre film de Lars Von Trier, projeté en compétition à Cannes en 1998.
(Reuters)
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyMar 23 Mai 2006 - 10:15

FESTIVAL DE CANNES

Selon Benoît
FERNAND DENIS

Mis en ligne le 22/05/2006 FESTIVAL DE CANNES 2006. Pict866586vp
- - - - - - - - - - -

Poelvoorde n'avait pas encore monté les marches pour un film en compétition. C'est fait avec «Selon Charlie» de Nicole Garcia, en compagnie de Bacri, Magimel, Lindon et les autres.
En attendant «Astérix», «Cow-Boy» et... «Cinéman»


AP

ENVOYÉ SPÉCIAL À CANNES

Il est né - artistiquement parlant - à Cannes avec «C'est arrivé près de chez vous», il y a rencontré sa femme, il a présenté «Les convoyeurs» à la Quinzaine, il a été membre du jury en 2004. Il n'y avait qu'une chose que Benoît Poelvoorde n'avait pas encore faite à Cannes, c'était accompagner un film en compétition. «C'est vrai et c'était génial», s'emballe Benoît en grande forme.

«J'étais vraiment heureux de monter les marches sur le morceau de Nick Cave qu'on entend dans le film. C'est d'ailleurs moi qui l'avais filé à Nicole. Il y avait le rouge, je me trouvais très beau - si, mon costume était très élégant -, le ciel commençait à descendre, c'était un moment de grâce, j'étais heureux. Pas fier mais heureux, en adéquation avec les éléments. Tellement heureux que je ne suis pas sur la photo dans le journal. J'ai dû disparaître. Pourtant, je suis le meilleur acteur de photocall, vous avez vu la photo quand je saute? Eh, il faut retomber après. Mais qu'est-ce que tu veux faire? On est là comme des cons, il faut tenter quelque chose.»

Que représentait Nicole Garcia?

La réalisatrice qui filmait vraiment comme une femme. Du moins l'idée que je m'en faisais. J'aime beaucoup ses films, elle me touche à chaque fois. J'aime la façon dont elle appréhende la passion, la peur. Quand on lit son scénario, on sent sa délicatesse. Elle inspire confiance. Et quand je vois le film, je suis ému. C'est du vrai cinéma, de la vraie mise en scène. Quand la femme de Benoît Magimel prend sa tête dans ses bras, tout est dit, j'en ai la chair de poule, rien que d'y penser. Regarde, regarde.

Le personnage moteur du film est un paléontologue. Dans une conférence, il explique comment s'organise une fouille. Un film est-il un terrain de fouilles, un temps pour creuser un sujet?

Ça dépend des films. Je viens de vivre cela très intensément avec le film de Benoît Mariage. Cela s'appelle «Cow-Boy» et c'est l'histoire d'un réalisateur qui, 25 ans plus tard, veut faire un film sur ce que sont devenus les protagonistes d'un fait divers, le détournement du bus à Vielsam. Vraiment, on réfléchissait au fur et à mesure.

Tous les jours, on remettait en question le scénario, on réécrivait. Il n'y avait pas d'ego mal placé, on voulait faire le meilleur film possible, trouver une solution quand ça ne marche pas. J'ai vécu cela aussi dans «Les convoyeurs», dans «C'est arrivé» et «Les portes de la gloire» aussi.

POUVOIR RIRE DE QUELQUE CHOSE C'EST UNE FAÇON DE DIRE QU'ON L'A ACCEPTÉ.

«Selon Charlie» parle de la solitude des hommes. Votre personnage est le plus pauvre mais pas le plus triste.

Rions pour ne pas pleurer, bien sûr. Le fait de pouvoir rire de quelque chose c'est une façon de dire qu'on l'a accepté. Le rire est le seul moyen de prendre de la distance, de vaincre l'absurdité de la vie.

Pour moi, c'est un mécanisme de défense. Et puis, cela permet de pas se prendre le melon, c'est accepter d'être ridicule. Et faire un effort pour l'être un peu moins.

Maintenant, vous acceptez des rôles qui ne font pas forcément rire.

Oui, une fois, dans «Entre ses mains». Dans le film de Benoît Mariage, on rit, mais c'est tragique. Mais de toute façon, le rire et le tragique sont liés. Je ne comprends pas l'expression humour noir, l'humour ne peut être que noir. Quel intérêt de rire de quelque chose de joyeux?

On connaît le running gag, avec vous il y a la running question. A quand le premier film en tant que metteur en scène?

Encore quatre films. Je me suis engagé pour tourner encore quatre films. Il y a «Astérix», «Les deux mondes» de Daniel Cohen, la suite des «Randonneurs» et «Cinéman»

Vos films continuent-ils de vivre?

Oui. Je me rappelle de tous mes personnages, je connais leurs prénoms, j'ai gardé leurs costumes. Un jour, je les inviterai tous à mon anniversaire. Ou à faire la fête à Cannes.

© La Libre Belgique 2006
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyMar 23 Mai 2006 - 12:15

Wink Wink Arrow Arrow ..................................................... Arrow

http://www.isifa.com/index.php?bool_search_send=true&page=search&search_ID=&lnp=&ed=on&ilustr=on&rf=on&foto=on&st=on&searchstr=poelvoorde

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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyMar 23 Mai 2006 - 12:50

j'adore ces photos merci Bengi Wink
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyVen 26 Mai 2006 - 16:43

20 mai 2006


Cannes 2006/Compétition – France

La solitude de l’homme Selon Charlie
Accueil sans grand enthousiasme de la presse ce matin pour Selon Charlie, le film choral de la Française Nicole Garcia. Tentant le difficile pari d’entrecroiser les trajectoires de sept personnages principaux et de plusieurs autres rôles secondaires, la cinéaste atteint brillamment son objectif sur le plan du récit grâce à un scénario ciselé, une mise en scène élégante et un montage très efficace, mais ne réussit pas à explorer pleinement la profondeur psychologique des protagonistes. Bien servi par d’excellents interprètes qui utilisent avec talent leurs espaces réduits d’expression, en particulier Benoît Magimel, Jean-Pierre Bacri, Benoît Poelvoorde et le jeune Ferdinand Martin qui incarne le jeune garçon de 11 ans Charlie, le film s’inscrit également dans la lignée des œuvres précédentes de la réalisatrice en s’attachant au versant dépressif et solitaire des existences humaines inextricablement liées les unes aux autres.

D’"un voyage aux confins de la solitude originelle de l’homme" à "la rupture d’une faille qui provoque des ondes sismiques", Selon Charlie navigue sur un arrière-plan philosophique incarné par deux chercheurs : un paléontologue vedette de retour dans sa ville natale de province et un professeur de sciences naturelles en situation d’échec. Une thématique de la faillite qui irrigue tout le film à travers les déboires affectifs et professionnels des personnages issus de milieux sociaux différents (adultères mal vécus, difficultés de communication, politique de clocher, discours ratés, scènes de ménage, braquage tournant mal…), le jeune Charlie jouant le rôle du grain de sable qui va interférer sur la vie de tous. Vouloir s’échapper de son monde, est-ce devenir un paria, un banni, un criminel ou au contraire être le dernier survivant d’un groupe d’éclaireurs ou même un pionnier ? Telle est la question que pose Nicole Garcia sans y apporter de réponse simple, préférant donner des pistes aux spectateurs en brossant un ambitieux portrait d’individus aux prises avec la complexité du quotidien.

Produit par Alain Attal pour Les Productions du Trésor, Selon Charlie qui est vendu à l’international par Wild Bunch, a bénéficié d’un budget de 7,8 millions d’euros, incluant 350 000 euros d’avance sur recettes du CNC, un apport de 1,5 million de France 3 Cinéma, et des préachats de Canal + et Ciné Cinéma.

Fabien Lemercier
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MessageSujet: Re: FESTIVAL DE CANNES 2006.   FESTIVAL DE CANNES 2006. EmptyLun 29 Mai 2006 - 13:47

CANNES (AP) --

Benoît Poelvoorde et Jamel Debbouze devraient être à l'affiche d'un remake du film "Le Corniaud" de Gérard Oury (1965, avec Louis de Funès et Bourvil), "On a encore volé le Youcouncoun", en projet pour StudioCanal, selon le journal spécialisé "Le Film Français" qui publie une édition quotidienne pendant le Festival.
Depuis son succès dans "Podium", Benoît Poelvoorde est très demandé. Il est à Cannes comme acteur du film de Nicole Garcia en compétition "Selon Charlie" et, après "Cowboy" de Benoît Mariage et "Les randonneurs 2" de Philippe Harel, va tourner dans les prochains mois dans "Astérix aux Jeux olympiques" de Thomas Langmann et Frédéric Forestier (il y joue le rôle de Brutus), puis dans "Les deux mondes" de Daniel Cohen.
Dans ce dernier film, une comédie familiale dont la sortie est prévue pour décembre 2007, il interprètera le rôle d'un petit artisan parisien, réservé et insignifiant, qui devient malgré lui le libérateur d'une tribu opprimée dans un autre monde. AP
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